NOUVEAU!     Téléchargez le making-of de la réalisation de la maquette ! ICI

> Samedi 23 Octobre

      Dans un premier temps, nous avons effectué les calculs pour établir une échelle. La maquette sera deux fois plus haute que longue afin de mieux représenter le viaduc lui même. La maquette fera 1m50 en longueur pour 50 cm de largeur.

Nous avons d’abord pris du grillage et avons donné la forme de la vallée du Tarn.

Après l’avoir mis en forme non sans quelques difficultés, nous avons créé de la colle pour le papier mâché que nous allons placé sur le grillage afin de donner de la consistance à la maquette. Nous avons donc dû déchirer une vingtaine de journaux et magazines que l’on trempa morceau après morceau dans la colle, puis que nous disposions sur le grillage. Cette phase fut assez longue, elle nous a pris environ trois heures. Il y a une dizaine de couches de papier mâché.

       

> Mardi 26 Octobre

            Après trois jours, la maquette était sèche. Nous avons donc rajouté une couche de plâtre au dessus du papier mâché pour avoir un support solide.

     Durant le séchage du plâtre, nous avons commencé la construction du viaduc. Le matériel utilisé fut essentiellement du carton plume. Nous élaborâmes les piles avec beaucoup de difficulté, car il fallut respecter les mesures… Le tablier fut plus simple et plus rapide à établir, il est large de 5cm. Nous avons ensuite peint les piles et le tablier d’un gris clair.

       

> Mardi 21 Décembre

         Nous primes toute la journée pour pouvoir finir la maquette. Nous avons commencé par peindre le support en vert, et bien sûr bleu pour le Tarn. Nous avons ensuite ajouté des décorations pour rendre la maquette plus réelle comme du sable pour la roche, du papier crépon et de la laine de verre pour la végétation.

 

Ensuite, nous avons fabriqué à nouveau les piles et le tablier car le résultat précédent était assez mauvais :  la peinture avait ondulé le papier … Nous décidâmes donc de ne plus les peindre. Nous imprimâmes une route que l’on colla sur le tablier. Nous passâmes alors à l’installation des haubans, tâche très pénible de part sa durée et de part la fébrilité des pylônes sur lesquels nous devions passer plusieurs fois le fil de couture  . Mais la tache la plus ardue fut la dernière avec l’installation des piles et du tablier sur le support …